Une surchemise courte, en lin naturel, qui dissimule derrière sa face avant classique une construction presque spirituelle.

Dans le dos, sous un empiècement d’épaule net et structurant, la pièce s’ouvre sur une série de pans verticaux, découpés comme des « noren » japonais, bannières textiles suspendues à l’entrée des temples ou des échoppes.

Ces bandes mobiles flottent librement dans le dos, créant du mouvement et des ombres. Certaines sont peintes à la main, reprenant le geste calligraphique des enseignes traditionnelles.